Après délibération du juge Martin, juge d’application des peines, 3 jeunes adultes sont condamnés à effectuer un T.I.G. (Travail d’Intérêt Général).
Repeindre les cages d’escalier ? Couper du bois en forêt ? Nettoyer l’espace public ? Rien de tout cela.
Connaissant leurs parcours de vie chaotiques et face aux échecs des dernières peines punitives prononcées, le juge décide d’appliquer une procédure expérimentale et pédagogique en les impliquant dans une création artistique théâtrale.
Etant lui-même amateur de théâtre traditionnel indien, il met en relation Aziz, la Soph et Pédro avec une compagnie professionnelle pratiquant la danse, la musique indienne et le fakirisme.
Autant dire que ces derniers auraient préféré couper du bois en forêt…
Pour ce projet, ils sont encadrés par leur éducateur, autoritaire et chevronné, qu’ils surnomment affectueusement « le parrain ».
Le jour de l’aboutissement de leur peine qui est la première représentation d’Abdel Fakir, le public est là, le brigadier prêt à taper les 3 coups, la magie du spectacle peut commencer.
Mais l’éduc, dit le parrain, lui, n’est pas la…